Plus-value immobilière 2026 : Calcul, abattements et exonérations
Comment calculer la plus-value immobilière ? Découvrez les abattements pour durée de détention, les exonérations et nos conseils pour optimiser votre fiscalité
Comment calculer la plus-value immobilière ? Découvrez les abattements pour durée de détention, les exonérations et nos conseils pour optimiser votre fiscalité
Vous envisagez de vendre un bien immobilier et vous vous interrogez sur l'impôt à payer ? La plus-value immobilière constitue l'un des enjeux fiscaux majeurs de toute cession. Avant abattements, le taux d'imposition atteint 36,2% du gain réalisé, auquel peut s'ajouter une surtaxe pour les plus-values les plus élevées. Heureusement, le législateur a prévu des abattements progressifs selon la durée de détention et plusieurs cas d'exonération totale, dont la résidence principale.
Ce guide complet vous explique comment calculer votre plus-value immobilière, quels abattements vous pouvez appliquer et comment optimiser votre situation fiscale avant la vente.
La plus-value immobilière correspond au gain réalisé lors de la cession d'un bien immobilier, calculé comme la différence entre le prix de vente et le prix d'acquisition. Ce gain est soumis à l'impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux selon un régime spécifique prévu aux articles 150 U et suivants du Code général des impôts.
Le régime des plus-values immobilières des particuliers s'applique aux cessions d'immeubles bâtis ou non bâtis, aux cessions de droits relatifs à ces immeubles comme l'usufruit ou la nue-propriété, ainsi qu'aux cessions de parts de sociétés à prépondérance immobilière non soumises à l'impôt sur les sociétés. En revanche, les cessions réalisées dans le cadre d'une activité professionnelle relèvent du régime des plus-values professionnelles, tout comme les ventes effectuées par des sociétés soumises à l'IS.
Dans notre pratique quotidienne, nous constatons que de nombreux contribuables méconnaissent les règles applicables et découvrent tardivement l'importance de l'imposition. Cette méconnaissance conduit parfois à des décisions précipitées ou à des occasions manquées d'optimisation. Une anticipation de plusieurs mois avant la vente permet généralement d'identifier les leviers d'action disponibles.
L'imposition de la plus-value se compose de deux éléments distincts. L'impôt sur le revenu est prélevé au taux forfaitaire de 19%. Les prélèvements sociaux s'élèvent à 17,2%, comprenant la CSG à 9,2%, la CRDS à 0,5% et le prélèvement de solidarité à 7,5%. Le taux global d'imposition atteint donc 36,2% de la plus-value nette après abattements.
Le paiement de l'impôt intervient au moment de la cession. Le notaire calcule la plus-value, établit la déclaration et prélève l'impôt sur le prix de vente pour le reverser au Trésor public. Cette procédure simplifiée évite au vendeur d'avoir à déclarer lui-même la plus-value, bien que celle-ci doive néanmoins figurer sur la déclaration annuelle de revenus à titre informatif.
Le calcul de la plus-value brute repose sur une formule simple en apparence mais dont l'application soulève de nombreuses questions pratiques. La plus-value brute correspond à la différence entre le prix de cession et le prix d'acquisition, ce dernier étant majoré des frais d'acquisition et du coût des travaux.
Le prix de cession s'entend du prix réel tel qu'il est stipulé dans l'acte de vente. Il peut être diminué des frais supportés par le vendeur à l'occasion de la cession, notamment les frais de diagnostics obligatoires, les frais de mainlevée d'hypothèque ou les honoraires d'agence lorsqu'ils sont à la charge du vendeur. L'indemnité d'éviction versée au locataire pour libérer le bien peut également venir en déduction du prix.
Le prix d'acquisition correspond au prix effectivement payé lors de l'achat, tel qu'il figure dans l'acte. En cas d'acquisition à titre gratuit par donation ou succession, le prix d'acquisition retenu est la valeur vénale déclarée dans l'acte de donation ou la déclaration de succession, sur laquelle les droits de mutation ont été calculés.
Les frais d'acquisition viennent majorer le prix d'achat. Vous pouvez retenir soit les frais réels justifiés par des factures, soit un forfait de 7,5% du prix d'acquisition. Ce forfait couvre les frais de notaire, les droits d'enregistrement et les honoraires d'agence supportés lors de l'achat. Dans la majorité des cas, le forfait de 7,5% est plus avantageux que les frais réels car il excède le montant des droits effectivement payés.
Les travaux constituent le troisième élément majorant le prix d'acquisition. Deux options s'offrent à vous. Vous pouvez retenir le montant réel des travaux de construction, reconstruction, agrandissement ou amélioration, à condition de les justifier par des factures d'entreprises. Ces travaux ne doivent pas avoir été déduits de vos revenus fonciers. L'alternative consiste à appliquer un forfait de 15% du prix d'acquisition, sans aucun justificatif, à condition de détenir le bien depuis plus de cinq ans.
À noter : Les travaux d'entretien et de réparation ne sont pas pris en compte dans le calcul de la plus-value, qu'ils aient été déduits ou non des revenus fonciers. Seuls les travaux ayant augmenté la valeur du bien sont éligibles.
Le mécanisme des abattements pour durée de détention constitue l'un des principaux leviers de réduction de l'impôt sur les plus-values immobilières. Plus vous détenez le bien longtemps, moins vous payez d'impôt, jusqu'à l'exonération totale après 30 ans.
Le calcul des abattements diffère selon qu'il s'agit de l'impôt sur le revenu ou des prélèvements sociaux. Pour l'impôt sur le revenu, aucun abattement ne s'applique pendant les cinq premières années de détention. À partir de la sixième année, un abattement de 6% par an vient réduire la plus-value imposable. La vingt-deuxième année, l'abattement est de 4%.
Au-delà, l'exonération d'impôt sur le revenu est totale. Ainsi, après 22 ans de détention, vous ne payez plus d'impôt sur le revenu sur votre plus-value.
Pour les prélèvements sociaux, le rythme d'abattement est plus lent. Pendant les cinq premières années, aucun abattement n'est applicable. De la sixième à la vingt-et-unième année, l'abattement est de 1,65% par an. La vingt-deuxième année, il atteint 1,60%. Au-delà, l'abattement est de 9% par an. L'exonération totale de prélèvements sociaux n'intervient qu'après 30 ans de détention.
La durée de détention se calcule par périodes de douze mois révolus depuis la date d'acquisition jusqu'à la date de cession. La date d'acquisition correspond à la date de l'acte authentique d'achat, de la donation ou du décès en cas de succession. La date de cession est celle de la signature de l'acte authentique de vente.
L'expérience montre qu'il est parfois judicieux de différer une vente de quelques mois pour franchir un palier d'abattement. Par exemple, si vous avez acquis un bien le 15 mars 2003 et envisagez de le vendre en janvier 2025, vous totalisez 21 ans de détention. En attendant le 15 mars 2025 pour signer l'acte de vente, vous atteignez 22 ans de détention et bénéficiez de l'exonération d'impôt sur le revenu.
Pour un bien détenu 15 ans, l'abattement sur l'impôt sur le revenu atteint 60% (10 années à 6%). L'abattement sur les prélèvements sociaux n'est que de 16,5% (10 années à 1,65%). La plus-value reste donc significativement imposée, principalement au titre des prélèvements sociaux.
Plusieurs cas d'exonération totale de plus-value immobilière sont prévus par la loi. Ces exonérations permettent d'échapper intégralement à l'impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux, quelle que soit la durée de détention.
L'exonération au titre de la résidence principale constitue le cas le plus fréquent et le plus avantageux. Aux termes de l'article 150 U II 1° du CGI, la plus-value réalisée lors de la cession de la résidence principale du vendeur au jour de la cession est totalement exonérée. Cette exonération s'applique également aux dépendances immédiates et nécessaires, comme le garage ou le jardin attenant.
Pour bénéficier de cette exonération, le bien doit constituer votre résidence principale effective et habituelle au moment de la vente. L'administration fiscale vérifie ce critère en examinant notamment l'adresse figurant sur vos déclarations de revenus, vos factures de consommation et votre inscription sur les listes électorales. Un logement occupé de manière occasionnelle ou secondaire ne remplit pas cette condition.
Un délai raisonnable est toléré entre le départ du logement et la vente. Selon la doctrine administrative reprise au BOI-RFPI-PVI-10-40-10, un délai d'un an est généralement admis, ce délai pouvant être prolongé en cas de circonstances exceptionnelles liées au marché immobilier local. Passé ce délai, le bien est considéré comme vacant et l'exonération n'est plus applicable.
L'exonération pour première cession d'un logement autre que la résidence principale offre une seconde chance aux contribuables qui ne sont pas propriétaires de leur résidence principale. L'article 150 U II 1° bis du CGI prévoit une exonération sous deux conditions cumulatives. Le vendeur ne doit pas avoir été propriétaire de sa résidence principale au cours des quatre années précédant la cession. Le prix de cession doit être remployé dans un délai de 24 mois à l'acquisition ou la construction de sa résidence principale.
L'exonération pour cession d'un bien dont le prix est inférieur à 15 000 euros s'apprécie par cédant et non par bien. Ainsi, un couple vendant ensemble un bien pour 25 000 euros ne peut bénéficier de cette exonération. En revanche, deux indivisaires vendant chacun leur quote-part pour 12 500 euros sont exonérés. L'administration retient le prix de cession et non la quote-part de plus-value.
L'exonération en faveur des personnes âgées ou invalides de condition modeste résidant en établissement constitue un cas spécifique. Les personnes titulaires de la carte mobilité inclusion mention invalidité ou résidant en EHPAD peuvent bénéficier d'une exonération sur la cession de leur ancienne résidence principale, sous conditions de ressources et de délai.
Pour illustrer concrètement le mécanisme de la plus-value immobilière, prenons l'exemple de M. et Mme Durand qui vendent un appartement locatif acquis il y a 18 ans.
Les époux Durand ont acheté cet appartement en janvier 2007 pour un prix de 180 000 euros. Les frais de notaire se sont élevés à 13 000 euros. Ils ont réalisé des travaux de rénovation pour 25 000 euros, dont ils conservent les factures. En décembre 2025, ils vendent le bien pour 320 000 euros. Les frais d'agence de 15 000 euros sont à la charge du vendeur.
Le calcul de la plus-value brute s'établit comme suit. Le prix de cession retenu est de 305 000 euros, soit 320 000 euros diminués des 15 000 euros de frais d'agence à charge du vendeur. Le prix d'acquisition majoré comprend le prix d'achat de 180 000 euros, les frais d'acquisition au forfait de 7,5% soit 13 500 euros, et les travaux réels de 25 000 euros. Le total du prix d'acquisition majoré atteint 218 500 euros. La plus-value brute s'élève donc à 86 500 euros.
Les époux Durand détiennent le bien depuis 18 années complètes. L'abattement pour durée de détention au titre de l'impôt sur le revenu est de 78%, soit 13 années à 6% depuis la sixième année. La plus-value imposable à l'IR est donc de 19 030 euros (86 500 × 22%). L'impôt sur le revenu au taux de 19% s'élève à 3 616 euros.
Pour les prélèvements sociaux, l'abattement est de 21,45%, soit 13 années à 1,65%. La plus-value imposable aux prélèvements sociaux est de 67 939 euros (86 500 × 78,55%). Les prélèvements sociaux au taux de 17,2% représentent 11 686 euros.
L'imposition totale des époux Durand atteint 15 302 euros, soit un taux effectif de 17,7% de la plus-value brute. S'ils avaient attendu 4 années supplémentaires pour atteindre 22 ans de détention, ils auraient économisé l'intégralité de l'impôt sur le revenu, soit 3 616 euros. L'attente de 12 années supplémentaires pour atteindre 30 ans aurait permis une exonération totale.
Ce calcul illustre l'importance de simuler différents scénarios avant de prendre la décision de vendre. Les outils de simulation disponibles sur le site des impôts permettent de chiffrer précisément l'impact d'un report de la cession.
Les plus-values immobilières les plus importantes sont soumises à une surtaxe progressive qui vient s'ajouter à l'impôt de 19% et aux prélèvements sociaux de 17,2%. Cette surtaxe s'applique lorsque la plus-value nette imposable à l'impôt sur le revenu, après abattement pour durée de détention, dépasse 50 000 euros.
Le barème de la surtaxe est progressif par tranches. Pour une plus-value comprise entre 50 001 et 60 000 euros, le taux de la surtaxe est de 2% appliqué à la différence entre la plus-value et 50 000 euros. Pour une plus-value comprise entre 60 001 et 100 000 euros, le taux est de 2% sur la totalité de la plus-value diminuée de 60 000 euros. Entre 100 001 et 110 000 euros, le taux passe à 3%. Entre 110 001 et 150 000 euros, il est de 3%. Entre 150 001 et 160 000 euros, le taux atteint 4%. Entre 160 001 et 200 000 euros, il reste à 4%. Entre 200 001 et 210 000 euros, le taux est de 5%. Entre 210 001 et 250 000 euros, il demeure à 5%. Entre 250 001 et 260 000 euros, le taux passe à 6%. Au-delà de 260 000 euros, la surtaxe est de 6% de la plus-value totale.
Ce mécanisme de lissage évite les effets de seuil. Si votre plus-value nette s'élève à 55 000 euros, la surtaxe ne porte que sur 5 000 euros au taux de 2%, soit 100 euros. Pour une plus-value de 300 000 euros, la surtaxe représente 18 000 euros (6% de 300 000).
La surtaxe est calculée et prélevée par le notaire en même temps que l'impôt de 19% et les prélèvements sociaux. Elle figure sur la déclaration de plus-value établie lors de la cession.
L'existence de cette surtaxe renforce l'intérêt d'optimiser la plus-value en amont de la cession. La majoration du prix d'acquisition par les travaux réalisés, le choix du forfait de 15% après 5 ans de détention, ou encore le fractionnement de la vente en plusieurs lots peuvent permettre de réduire la plus-value nette sous le seuil de 50 000 euros.
La cession d'un bien immobilier détenu via une structure juridique particulière obéit à des règles spécifiques qui peuvent significativement modifier le traitement fiscal de la plus-value.
La cession d'un immeuble par une SCI soumise à l'impôt sur le revenu suit le régime des plus-values des particuliers. La plus-value est calculée au niveau de la société puis répartie entre les associés au prorata de leurs droits. Chaque associé est personnellement imposé sur sa quote-part de plus-value, en bénéficiant des abattements pour durée de détention calculés depuis la date d'acquisition par la SCI.
La cession de parts de SCI à prépondérance immobilière non soumise à l'IS relève également du régime des plus-values immobilières des particuliers. La durée de détention est celle des parts et non celle de l'immeuble par la société. Si vous avez acquis des parts en 2020 alors que la SCI détient l'immeuble depuis 1995, votre durée de détention n'est que de 5 ans.
Attention : La SCI soumise à l'IS relève d'un régime différent. La plus-value est imposée au niveau de la société au taux de l'IS, sans abattement pour durée de détention. La distribution du produit de cession aux associés supporte ensuite le prélèvement forfaitaire de 30%.
Le démembrement de propriété soulève des questions particulières. En cas de cession conjointe de l'usufruit et de la nue-propriété, la plus-value est calculée globalement puis répartie entre l'usufruitier et le nu-propriétaire selon le barème de l'article 669 du CGI. La durée de détention est appréciée séparément pour chacun d'eux depuis l'acquisition de leurs droits respectifs.
La cession par un nu-propriétaire seul de sa nue-propriété génère une plus-value calculée sur la valeur de la nue-propriété. Le prix d'acquisition retenu est la valeur de la nue-propriété au jour de l'acquisition, elle-même déterminée par application du barème fiscal selon l'âge de l'usufruitier à cette date.
L'indivision n'emporte pas de règles particulières. Chaque indivisaire est personnellement imposé sur la plus-value correspondant à sa quote-part, avec les abattements calculés depuis la date de son entrée en indivision. Les acquisitions successives de droits indivis font l'objet de calculs séparés avec des durées de détention distinctes.
Dans notre pratique, nous constatons que les situations de démembrement ou d'indivision génèrent fréquemment des erreurs de calcul. La reconstitution de l'historique des acquisitions et des valorisations successives requiert une attention particulière. Un accompagnement par un avocat fiscaliste permet de sécuriser le calcul et d'identifier les options les plus favorables.
Plusieurs leviers permettent de réduire légalement l'imposition de la plus-value immobilière. L'anticipation est essentielle car ces stratégies doivent être mises en œuvre avant la signature de l'acte de vente.
La majoration du prix d'acquisition par les travaux constitue le premier levier. Si vous avez réalisé des travaux d'amélioration ou d'agrandissement sans les déduire de vos revenus fonciers, conservez précieusement les factures. Ces travaux viendront majorer le prix d'acquisition et réduire d'autant la plus-value. Les travaux réalisés par vous-même ne sont pas pris en compte, seules les factures d'entreprises étant admises.
Le choix entre frais réels et forfaits mérite une attention particulière. Pour les frais d'acquisition, le forfait de 7,5% est généralement plus favorable que les frais réels. Pour les travaux, le forfait de 15% disponible après 5 ans de détention peut être plus intéressant que les travaux réels si ceux-ci sont inférieurs à ce montant ou si vous n'avez pas conservé les justificatifs.
Le report de la cession pour atteindre un palier d'abattement supérieur peut générer des économies significatives. Le passage à 22 ans de détention est particulièrement stratégique car il emporte exonération d'impôt sur le revenu. La différence entre 21 et 22 ans de détention représente 4 points d'abattement supplémentaires, soit une économie d'impôt sur le revenu de 0,76% de la plus-value brute.
La donation avant cession permet dans certains cas de purger la plus-value. Lorsque vous donnez un bien à vos enfants, la plus-value latente est effacée. Le donataire qui revend ensuite le bien n'est imposé que sur la plus-value acquise depuis la donation, valorisée à la valeur déclarée dans l'acte. Cette stratégie suppose toutefois que la donation intervienne suffisamment longtemps avant la cession pour ne pas être requalifiée en abus de droit.
Le remploi du prix de cession dans l'acquisition de la résidence principale ouvre droit à l'exonération prévue à l'article 150 U II 1° bis du CGI pour les non-propriétaires de leur résidence principale. Si vous êtes locataire et vendez un bien locatif, vous pouvez bénéficier d'une exonération proportionnelle au remploi effectué dans les 24 mois.
L'accompagnement par un avocat fiscaliste est particulièrement recommandé pour les plus-values importantes ou les situations complexes. Une consultation en amont de la cession permet d'identifier les options disponibles et de sécuriser le traitement fiscal de l'opération.
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